- Si tout est relatif, est-ce que rien est absolu? - C'est relativement con comme question. - Absolument ! Variation sur le thème des Impromptus littéraires : "Relativité".
gris sourire parti s’offrir ? à d’autres ! gris sourire parti souffrir à d’autres reviens-moi à l’aube plus clair plus doux reviens-moi plus franc et plus fier plus fou nous serons au soleil levant mon ange les plus rayonnants des amants étranges
... il a chanté sa mort bien mieux que quiconque ne saurait le faire, alors je m'abstiendrai de toute tentative d'hommage qui ne pourrait être que ratée. Simplement : vive la révolution !
C'est dimanche aujourd'hui. L'air est couleur du miel. Quoique… attends voir… ah non. Foutue cataracte, tiens. Ecrit pour les Impromptus littéraires avec la contrainte de commencer par « C'est dimanche aujourd'hui. L'air est couleur du miel. » (Paul Jean...
Le tartare se fait tartir dans le dessert… alors que dans le Worcestershire il aurait été comme un coq en pâtes. Mais avec des frites à la place des pâtes.
La nuit n’est jamais complète et c’est tout le drame Qu’une lune se reflète hélas sur la lame Et tu risques perpèt’ pour la mort d’un quidam Ecrit pour les Impromptus littéraires : commencer par "La nuit n'est jamais complète" (Paul Eluard)
Allez, parce qu’il n’y a pas non plus que les hommes qui quittent leurs femmes…
Je continue avec ma flemme estivale et musicale... dans un genre moins sentimentalo-tristoune aujourd'hui, parce que je ne suis pas QUE dépressive et romantique.
Allez... une dernière petite sélection et après j'arrête et je me remets à écrire. Enfin j'essaie, quoi.
La dinde était froide, mais le lapin était chaud. Il userait de tous ses charmes pour briser la glace avec cette godiche. Il ne serait pas dit qu’il ne se la farcirait pas avant Noël. Ecrit pour les Impromptus littéraires : « La dinde était froide ».
« Le nourrisson retrouvé momifié en Haute-Savoie a été abandonné vivant » « Une fillette de 10 ans retrouvée pendue » « Homme dans le congélateur : la concubine avoue le meurtre » Pas mieux…
Ben voilà, ça y est, je suis moderne... j'ai mon blog. Reste à voir si je saurai le faire vivre, mais c'est un début ! Pourquoi ? Pour pouvoir jouer avec les autres... mais peut-être qu'avec le temps je ferai plus ou mieux ou... rien. On verra !
- Et elle fait quoi au Bénin ? - Trekking. - Ah ?! Et c’est pas dangereux ? - Bah… nan, c’est bénin. Et pendant ce temps-là… Les moutons joyeux prospérèrent voletant dans les courants d’air tandis que bien loin la bergère foulait vaillamment d’autres...
- En vacances la bergère ? - Ouais, au Bénin. - Ouah ! C’est formidable ! - Bah… nan, c’est bénin. Et pendant ce temps-là… Les moutons fous s’agglutinèrent moutonnant dans les coins par terre dès que fut partie la bergère respirer d’autres atmosphère...
Si j’étais riche, je me ferais prescrire légalement de la méthadone. Et je m’offrirais de nouvelles dents à la place de mes chicots pourris. Et j’essaierais au moins une fois de baiser sans me faire payer. Juste pour le plaisir. Voire par amour. Ecrit...
L’est revenue fâchée tendue l’ampoule nue l’alarme aigüe des rêves déçus Ventre tordu de haut j’ai chu sous l’eau j’ai bu l’amère cigüe l'âme éperdue
Tu es si jolie quand tu dors Un ange avec des cheveux d'or Monstres sorcières et méchants loups Hantent parfois tes rêves doux Vite d'un bisou je t'apaise Pour qu'à nouveau la nuit te plaise Tu es si jolie en sommeil Toi mon adorable merveille
Sûr qu’elle l’aime. Elle l’a trop aimé pour ne l’aimer plus. Et quoi, les souffrances, les doutes, les pleurs et les angoisses ? C’est son affaire. Il est entré dans sa vie. Il est devenu sa vie. Elle veut être la sienne. Ainsi soit-il, alors.
ainsi donc l’automne jamais ne m’étonne il se doit toujours d’être triste et lourd et tombent les feuilles le chagrin me cueille et vogue l’amour et s’éteint le jour et tombe la pluie un sourire s’enfuit les amours se meurent et crèvent les cœurs
Il est parti. sans m’embrasser sans se retourner sans s’excuser sans pardonner sans pleurer sans m’aimer Avec sa fierté. Je suis restée. éplorée laminée dévastée abandonnée méprisée désaimée Sans lui.
Ce matin, en arrivant au bureau, un monsieur du ménage travaillait dans le hall et je lui ai dit bonjour. Juste bonjour. Il a répondu : « Oui pardon excuse-moi bonjour madame merci ». Ça m’a collé le bourdon.
oh la douce heure où naquit à mon œil aimant d’une douceur infinie la larme d’antan à mots couverts à maux dits âme au gré des vents ton souffle à mon cœur ami l’emporte en riant
une poule derrière un mur qui se piquait aux drogues dures tapina, tapinait lève une queue et puis s’en va Ecrit pour les Impromptus littéraires : "derrière le mur"
Je déménage ! Pas de changements fondamentaux, mais une nouvelle adresse : http://poupoune-pidou.blogspot.fr A bientôt !